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Directives et recommandations sanitaires à l'intention des voyageurs

Maladie à virus Ebola (EVD°

La maladie à virus Ebola est une maladie virulente qui se transmet par contact direct avec le sang, les liquides organiques et les tissus d’animaux ou de personnes infectés, ou par contact avec des objets contaminés. Il se manifeste par les symptômes suivants : fièvre, faiblesse, douleurs musculaires, maux de tête et irritations de la gorge. Ils sont suivis de vomissements, de diarrhées, d’éruptions cutanées et, dans certains cas, de saignements.

Conseils de l’OMS aux voyageurs :

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) ne recommande pas d’imposer une interdiction générale aux voyages et aux échanges commerciaux internationaux  ; mais les restrictions concernant les voyages des personnes infectées et leurs contacts doivent être respectées.

Toute personne ayant séjourné dans une région où des cas ont été dépistés récemment devra les connaître les symptômes de l’infection et consulter un médecin au premier signe de la maladie.

Pour plus de renseignements, consulter le site suivant : http://www.who.int/entity/csr/disease/ebola/en/index.html

Grippe

À la suite de la pandémie de 2009 (H1N1), l’OMT a recueilli les expériences vécues et les problèmes rencontrés par le secteur des voyages et du tourisme sous la forme un ouvrage publié dans le cadre de l’initiative Vers un monde plus sûr, initiative que l’on doit au Programme alimentaire mondial (PAM) et à la Coordination des Nations Unies pour la grippe aviaire (UNSIC). Pour ouvrir le document de l’OMT intitulé Towards a Safer World: The Travel, Tourism and Aviation Sector, cliquer ici.

Grippe A (H7N9):

La grippe A (H7N9) est attribuée à un virus habituellement présent chez les oiseaux. Dans de rares cas, la maladie se transmet à l’homme. Selon l’OMS, on n’a pas la preuve que la maladie se transmet toujours entre les êtres humains.

Les touristes ne sont actuellement pas menacés et l’OMS ne préconise pas d’imposer une quelconque restriction aux voyages. Malgré l’incertitude entourant la source d’infection et le mode de transmission, la prudence veut que l’on suive les règles d’hygiène de base pour éviter une infection.

Pour plus de renseignements, cliquer ici pour connaître les questions que l’on pose le plus souvent à propos de la grippe A(H7N9).

Pandémie de 2009 (H1N1) :

La pandémie H1N1 s’est caractérisée par l’apparition  d’un nouveau virus grippal contre lequel beaucoup de gens n’étaient pas immunisés. Elle a provoqué des flambées inhabituelles et importantes de la maladie durant l’été dans beaucoup de pays, et une explosion du nombre de cas en hiver. Presque partout, le virus pandémique l’a emporté sur les autres formes de grippe saisonnière, et il a donné lieu à des manifestations cliniques inusitées, les cas les plus graves ayant touché le plus souvent les jeunes classes d’âge.

Le virus pandémique de 2009 s’est transformé en un virus saisonnier qui cohabite avec d’autres virus saisonniers depuis août 2009, date à laquelle l’OMS a annoncé la fin de la pandémie de H1N1.

Grippe aviaire H5N1 :

La grippe aviaire, ou influenza aviaire, est une maladie animale contagieuse causée par des virus qui ne touchent normalement que les oiseaux et, moins couramment, les porcs. Les virus de la grippe aviaire sont très spécifiques d’une espèce, mais il leur arrive, à de rares occasions, de franchir la barrière des espèces pour infecter des humains.

Chez la volaille domestique, l’infection aux virus de la grippe aviaire donne lieu à deux principales formes de maladie caractérisées par un degré de virulence très faible ou très élevé. Sous sa forme dite « faiblement pathogène », elle ne provoque généralement que des symptômes légers (plumes ébouriffées, baisse de la production d’œufs) et peut très bien ne pas être détectée. La forme très pathogène est beaucoup plus problématique. L’infection se propage très rapidement dans les élevages de volaille, provoque une maladie qui affecte de multiples organes internes, et présente un taux de mortalité qui peut approcher 100 %, souvent en l’espace de 48 heures.

 

Pour plus de renseignements, cliquer sur les liens suivants :

Les liens ci-après donneront une première idée des directives et autres documents similaires se rapportant à la pandémie de 2009 (H1N1) et à la grippe aviaire :

Organisation mondiale du tourisme (OMT) :

  • OMT, Conclusions et recommandations – Examen et exercice de préparation de l’OMT sur les voyages et le tourisme en situation de pandémie pour l’Afrique, l’Europe et le Moyen-Orient (anglais- français - espagnol- russe- arabe)  
  • OMT, Conclusions et recommandations – Examen et exercice de préparation de l’OMT sur les voyages et le tourisme en situation de pandémie pour les Amériques (anglais - français- espagnol- russe - arabe)
  • UNWTO Travel and Tourism under Pandemic Conditions: Review and Preparation Exercise (anglais)
  • Communications and Incentives: the Importance of Fast and Sincere Reporting (anglais)
  • Recommendations on the Use of Georeferences, Date and Time in Travel Advoce and Event Information (anglais)

Documents produits le secteur des voyages et du tourisme :

Les directives qui suivent ont été utilisées pendant la pandémie de H1N1 en 2009 et montrent bien que les entreprises ont besoin d’outils d’orientation pratiques et faciles d’application, et adaptés aux problèmes concrets qu’elles rencontrent. Si vous connaissez d’autres documents utiles, prière de les signaler à l’adresse rcm@unwto.org. Tous les documents cités reflètent le point de vue de leurs auteurs respectifs mais pas forcément celui de l’OMT.

  • H1N1 Influenza Management in Hotels (AH&LA) (anglais)
  • Pandemic (H1N1) 2009 for Hotels and Tourism Establishments (CEHAT) (anglais - espagnol)
  • Cruise Industry Pandemic (H1N1) 2009 (CLIA) (anglais)

Liens généraux pour les petites et moyennes entreprises :

  •  A Preparedness Guide for Small Businesses (FLU.gov) (anglais)
  •  Business Continuity Management 2008 (Chartered Management Institute) (anglais)
  •  Flyer: Protecting Your Employees from Pandemic Human Influenza (ILO) (anglais)
  •  Manuel d’actions pour les petites et moyennes entreprises (OIT) (anglais - francais - espagnol - laotien - japonais - khmer - vietnamien - thaï
  • Business Continuity Management Toolkit (HM Government) (anglais)

Les liens ci-dessous renvoient également à d’autres directives utiles :

Procédures en matière de propreté et d’hygiène :

  • Food Contact Surface and Equipment Procedures (NRA) (anglais)
  • Furniture and Fixtures Procedures (NRA) (anglais)

Points d’entrée pour la pandémie H1N1 :

  • Organisation mondiale de la santé (OMS)
  • Center for Disease Control and Prevention (CDC)
  • Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)
  • Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (CEPCM)
  • Bibliothèque numérique de la formation à la lutte contre la grippe (OMS)

Recommandations :

  • Pour plus de renseignements, voir également le chapitre 9 de la publication de l’OMS Voyages internationaux et santé anglais- français).

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Éthiopie : le tourisme, clé du développement

PR No.: PR 14051

Lors d’une visite officielle en Éthiopie, le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, a rencontré le Président Mulatu Teshome, le Premier ministre Hailemariam Desalegn, le Premier ministre adjoint Demeke Mekonen, et le ministre de la Culture et du Tourisme, Amin Abdulkadir, pour s’entretenir de l’essor du tourisme en Éthiopie et du rôle clé joué par ce secteur dans le développement socioéconomique du pays. (Addis Abéba, Éthiopie, 13-18 juillet 2014).

Le gouvernement éthiopien est actuellement en train de mettre en oeuvre plusieurs mesures stratégiques afin de poursuivre le développement du secteur touristique dans le pays, mesures qui comprennent des investissements dans l’infrastructure et le renforcement des capacités concernant la gestion des destinations et le développement de produits, sous l’égide du Conseil de transformation du tourisme créé dernièrement.

Ces mesures témoignent de la place importante prise par le tourisme parmi les moteurs du développement du pays, a déclaré le Président Mulatu Teshome au cours d’une réunion avec M. Rifai, en plus d’affirmer qu’il soutenait pleinement le secteur touristique et que le gouvernement éthiopien s’était engagé à faire de la durabilité un axe prioritaire du développement du tourisme dans l’avenir.

« L’Éthiopie est dotée d’un riche patrimoine historique qui, ajouté à l’hospitalité de notre population, en font une destination viable pour le tourisme », a indiqué le Président Mulatu Teshome. « Le gouvernement s’est assuré les services de professionnels compétents pour travailler dans le secteur et la volonté politique nécessaire existe pour aider au développement du tourisme. »

M. Rifai a félicité l’Éthiopie pour le soutien politique apporté au secteur touristique et pour l’intégration du tourisme à sa politique de développement. « Le tourisme est un outil essentiel pour sortir la population du dénuement et créer de nouvelles possibilités », a-t-il affirmé. « Nul doute que les mesures actuellement prises par l’Éthiopie, à savoir le renforcement de la protection et de la préservation des atouts touristiques, l’expansion de l’infrastructure touristique, la création d’un organisme de marketing touristique et d’un conseil national du tourisme, ainsi que la multiplication des établissements d’enseignement et de formation dans le domaine du tourisme feront du tourisme un pilier du développement de l’Éthiopie », a-t-il ajouté.

Pendant sa visite officielle dans le pays, M. Rifai a également rencontré le Premier ministre Desalegn, à qui a été remise, lors du Séminaire de haut niveau sur l’industrie touristique, la Lettre ouverte de l’OMT/WTTC sur les voyages et le tourisme, qui appelle les chefs d’État et de gouvernement à mettre en valeur la contribution du secteur touristique au développement durable.

« Le Conseil de transformation du tourisme a pour vocation d’exploiter les ressources naturelles, historiques et culturelles de l’Éthiopie pour consolider le secteur touristique, recenser les principales lacunes de la chaîne de valeur et intervenir pour remédier à ces lacunes sur la base d’études tangibles et scientifiques de concert avec le secteur privé et la communauté internationale du tourisme », a expliqué M. Desalegn. « Ensemble, nous allons œuvrer main dans la main à ce que le tourisme devienne un des secteurs dominants de l’économie du pays et l’Éthiopie une des grandes destinations de l’Afrique. »

L’OMT et l’Éthiopie ont convenu d’intensifier leur collaboration dans les domaines des statistiques du tourisme, du développement du tourisme durable, des partenariats public-privé et des stratégies de marketing aux termes d’un accord signé par M. Rifai et le ministre éthiopien du Tourisme et de la Culture, M. Amin Abdulkadir.

 

Note à la rédaction :

L’Afrique est l’une des régions touristiques qui ont connu les plus fortes croissances au cours de la décennie écoulée, ayant enregistré l’an passé un total de 56 millions de touristes internationaux, contre 26 millions in 2000. Selon les prévisions de l’OMT, leur nombre devrait passer à 134 millions d’ici 2030.

En 2013, le tourisme a produit en Afrique 34 milliards de dollars EU au titre des exportations (7% des exportations de la région), contre 10 milliards en 2000.

 

Liens utiles :

Album photographique : visite officielle du Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, en Éthiopie

Programme régional de l’OMT pour l’Afrique 

A télécharger et partager : Tourism – Driving Trade, Fostering Development and Connecting People (en anglais)

 

Contacts:

Responsable principal médias de l’OMT : Marcelo Risi

Tél. : (+34) 91 567 81 60 

Programme de communications et publications de l’OMT

Tél. : (+34) 91 567 8100 / Télécopie : +34 91 567 8218 

 

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Visite officielle du Secrétaire général de l'OMT en Ethiopie, du 13 au 18 juillet 2014

Visite officielle du Secrétaire général de l'OMT en Ethiopie, du 13 au 18 juillet 2014

Lors d’une visite officielle en Éthiopie, le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, a rencontré le Président Mulatu Teshome, le Premier ministre Hailemariam Desalegn, le Premier ministre adjoint Demeke Mekonen, et le ministre de la Culture et du Tourisme, Amin Abdulkadir, pour s’entretenir de l’essor du tourisme en Éthiopie et du rôle clé joué par ce secteur dans le développement socioéconomique du pays. (Addis Abéba, Éthiopie, 13-18 juillet 2014).lire plus

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Version française du guide pratique de la gestion des destinations touristiques

Version française du guide pratique de la gestion des destinations touristiques

 

Chers membres,

Le Guide pratique de la gestion des destinations touristiques est désormais disponible en Français et accessible en version électronique en accédant à la bibliothèque électronique de l’OMT :

http://www.e-unwto.org/content/v00218.

Retrouvez toutes les publications de l’OMT en ligne en visitant la page Internet de la bibliothèque électronique de l’OMT : www.e-unwto.org.  

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Le Manuel sur le développement de produits touristiques

Le Manuel sur le développement de produits touristiques

 

Chers membres,

Le Manuel sur le développement de produits touristiques est à présents disponible en version française et accessible au travers de la bibliothèque électronique de l’OMT : http://www.e-unwto.org/content/t27607.  

Nous vous informons également de la disponibilité en ligne de l’ensemble des publications de l’Organisation et vous invitons à visiter le site Internet de la bibliothèque électronique de l’OMT : www.e-unwto.org

 

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Mise en garde de l’OMT contre une possible taxe touristique en Afrique

PR No.: PR14033

Le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, s’est montré inquiet des répercussions négatives, pour le secteur du tourisme en Afrique, d’une nouvelle taxe touristique sur les passagers aériens et les clients des hôtels dont débattent actuellement les membres de l’Union africaine. Le tourisme, l’un des secteurs qui contribuent le plus à la balance des paiements de cette région, est le moyen d’existence de millions de personnes et l’une des industries où le continent peut s’enorgueillir d’un fort avantage concurrentiel sur les marchés internationaux.

Pour M. Rifai, « Une taxe touristique en Afrique constitue une menace pour la compétitivité de la région et pour toutes les économies africaines où le tourisme s’érige de plus en plus en pilier de développement. Toute décision concernant l’éventuelle imposition d’une taxe touristique en Afrique doit être soigneusement soupesée en raison de ses conséquences négatives sur la demande touristique, la croissance économique et l’emploi ».  

Les ministres du Tourisme de la région, qui assistaient le mois dernier en Angola à la 56ème réunion de la Commission de l’OMT pour l’Afrique, ont aussi manifesté leur inquiétude. Les participants ont assuré qu’une accentuation de la pression fiscale freinerait considérablement le développement soutenu du tourisme et de l’aviation dans la région. La connectivité étant l’une des principales barrières à la croissance du tourisme en Afrique, une nouvelle augmentation du coût des voyages aériens à destination de ce continent compromettrait le déploiement des liaisons aériennes intra et interrégionales.

Le tourisme international n’a cessé de se développer ces dernières années en Afrique où 56 millions de visiteurs ont été accueillis en 2013 alors qu’ils n’étaient que 26 millions en 2000. Le tourisme international génère 34 milliards de $EU en exportations pour l’Afrique, soit 7% de l’ensemble des exportations et 56% des exportations de services de la région. Malgré ces progrès, le tourisme africain a encore un long chemin à parcourir vu qu’il ne représente que 5% du tourisme international et qu’il se heurte à des barrières qui limitent sa croissance et sa compétitivité.    

L’imposition d’une taxe touristique en Afrique aura des répercussions non seulement sur le secteur touristique mais aussi sur les économies africaines dans l’ensemble. En effet, chaque touriste est synonyme d’emplois et de possibilités commerciales pour le tourisme en soi mais aussi pour les secteurs connexes, d’une élévation des revenus pour les familles, d’investissements et de nouvelles opportunités de développement sur le terrain.

 

Liens utiles

Télécharger et partager : Tourism – Driving Trade, Fostering Development and Connecting People (pdf)

 

Contacts :

Responsable principal médias de l’OMT : Marcelo Risi

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La connectivité aérienne, facteur clé pour mettre à profit le potentiel du tourisme en Afrique

PR No.: PR14031

Les États Membres africains de l’OMT, réunis à l’occasion de la 56réunion de la Commission de l’OMT pour l’Afrique, ont souligné la nécessité d’une meilleure coordination des politiques en matière de tourisme et de transport aérien afin d’explorer pleinement la capacité que possède le secteur du tourisme de contribuer à la croissance et au développement sur le continent. La discussion a également porté sur la crise actuelle que constitue le braconnage en Afrique et son incidence négative sur le tourisme [28-30 avril 2014, Luanda (Angola)].  

Au cours de la décennie écoulée, l’Afrique a constamment fait mieux que d’autres régions en ce qui concerne les arrivées de touristes internationaux. D’ici 2030, le nombre de touristes internationaux en Afrique pourrait passer de 56 millions actuellement à 134 millions. De plus en plus de pays africains ont fait du tourisme une priorité pour assurer leur développement. 

Dans ce contexte, les participants à la réunion de la Commission de l’OMT pour l’Afrique et au séminaire correspondant « Le tourisme et la connectivité aérienne en Afrique » ont débattu des moyens de surmonter les obstacles existants afin de faire progresser le tourisme en Afrique, notamment grâce à la facilitation des voyages, à la connectivité aérienne et au développement des infrastructures. 

« En Afrique, le tourisme représente 7% du total des exportations et 58% des exportations de services ; c’est l’un des secteurs les plus importants pour les économies du continent » a déclaré le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, avant d’ajouter : « Or, s’il l’on veut mettre pleinement à profit le potentiel que détient le tourisme de promouvoir la croissance et le développement en Afrique, il est impératif de s’efforcer d’obtenir un meilleur alignement des politiques de tourisme et de transport aérien dans la région ».

Les principaux facteurs entravant le développement du tourisme comme du transport aérien en Afrique ont été identifiés comme étant la prise en compte insuffisante des avantages découlant du tourisme et le manque de coordination entre les secteurs du tourisme et de l’aviation. Cela se traduit par des politiques de transport aérien et de tourisme laissant à désirer, des infrastructures déficientes, des taxes inadaptées et des régimes de visa restrictifs.

Le séminaire a préparé le terrain en vue de la première conférence ministérielle pour l’Afrique sur le tourisme et le transport organisée par l’OMT et l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) [14-15 octobre 2014, Mahé (Seychelles)]. 
 

Le braconnage en Afrique : une menace pour le tourisme et les moyens de subsistance 

À l’occasion de la réunion de la Commission de l’OMT pour l’Afrique, il y a un débat spécialement consacré à la crise en cours que constitue le braconnage et à son incidence sur le tourisme et les moyens de subsistance des millions de personnes qui vivent du tourisme dans la région. À ce sujet, les États Membres ont chargé l’OMT de poursuivre son travail de plaidoyer dans le domaine de la lutte contre le braconnage et d’étudier la façon dont le secteur du tourisme peut aider à combattre la criminalité liée aux espèces sauvages dans le monde.  

Un rapport de l’OMT sur la valeur que représente le tourisme d’observation de la faune en Afrique a été présenté à la réunion. Il confirme que le tourisme d’observation de la faune est l’un des principaux attraits touristiques de la majorité des destinations de la région. D’après les estimations contenues dans le rapport, les touristes venus observer les espèces sauvages représentent de 80% à 90% du total des visiteurs des zones protégées. En outre, le commerce illégal d’espèces sauvages est identifié dans le rapport comme étant un problème grave qui pèse manifestement sur le développement du tourisme dans la région, non seulement à cause de la perte de biodiversité qu’il entraîne, mais aussi parce qu’il représente une menace pour la sécurité et qu’il influe négativement sur la perception des destinations africaines à l’échelle internationale. 

 

Liens utiles :

Programme régional de l’OMT pour l’Afrique

Facilitation des voyages (en anglais)

Étude de l’OMT sur la valeur économique du tourisme d’observation de la faune

 

Contacts :

Responsable principal médias de l’OMT : Marcelo Risi

Tél. : (+34) 91 567 81 60
 

Programme de communications et publications de l’OMT

Tél. : (+34) 91 567 8100 / Télécopie : +34 91 567 8218

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56ème réunion de la commission de l'OMT pour l'Afrique et séminaire régional sur le tourisme et les liaisons aériennes en Afrique

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56ème réunion de la commission de l'OMT pour l'Afrique et séminaire régional sur le tourisme et les liaisons aériennes en Afrique

Visites de courtoisie auprès des ambassades

Visites de courtoisie auprès des ambassades

Suite à sa prise de fonctions, la Directrice du programme régional pour l’Afrique, Elcia Grandcourt, a entamé une série de visites de courtoisie auprès de toutes les ambassades africaines en Espagne. Les visites, au cours desquelles Mme Grandcourt souhaitait principalement se présenter et réaffirmer son attachement à poursuivre le travail mené dans le cadre du programme pour l’Afrique, ont aussi été l’occasion d’examiner de nouvelles pistes et de nouveaux domaines de coopération avec les pays Membres. Ses visites ont été très appréciées par les Ambassadeurs et Chargés d’affaires qu’elle a rencontrés, accompagnée d’Helder Tomas, Directeur adjoint du programme pour l’Afrique. Les discussions, jugées très fructueuses, ont permis de faire émerger différentes idées et propositions, dont Mme Grandcourt a indiqué qu’elles seraient intégrées dans le programme de travail pour 2014. L’OMT entend jouer un rôle plus dynamique pour aller vers les pays Membres et les impliquer davantage dans les activités programmées dans la région.

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